Le Grand Remplacement est une expression qui ne relève ni de la théorie, ni du concept, mais bien d’un constat : le Grand Remplacement désigne simplement l’idée selon laquelle la proportion d’individus d’origine extra-européenne augmente en France depuis les 50 dernières années et continue d’augmenter, dans des proportions non négligeables.
Evidemment, cette affirmation ne fait que décrire l’évolution démographique du pays depuis 50 ans, et seuls les idéologues de gauche peuvent la nier, au prix mensonges, d’arguments fallacieux et de contorsions mentales impressionnantes. A ce titre, l’évolution du contenu de la page Wikipédia (intégralement sous contrôle idéologique de la gauche) est assez révélatrice : on passe de “remplacement des populations européennes par des populations d’origine maghrébine et subsaharienne”, à “une théorie complotiste d’extrême-droite, raciste et xénophobe, aux origines néo-nazies et antisémites […]”. Le décalage de la fenêtre d’Overton au sein des structures d’influence en 7 ans est assez impressionnant. Une réinformation sur ce sujet semble nécessaire.
Dans cet article, nous montrons que le Grand Remplacement, défini comme augmentation progressive et significative de la proportion individus d’origine extra-européenne (en l’occurence africaine), est une réalité.
La question de savoir s’il s’agit d’un processus délibéré organisé par “les élites” est un autre débat, qui est tout simplement utilisé fallacieusement pour discréditer l’idée du remplacement ethnique des populations autochtones. Notons toutefois que les mêmes personnes qui essaient de nier le Grand Remplacement sont aussi celles qui s’extasient sur le fait que la France soit devenue multiraciale, sans voir visiblement les contradictions de leur pensée.
Par ailleurs, que les élites aient organisé volontairement ou non le Grand Remplacement, elles l’ont en tout cas soutenu et laissé faire passivement, et l’ont encouragé par des mesures politiques, des décisions et des prises de position pro-immigration et antiracistes.
Revenons maintenant aux considérations démographiques. Pour étudier la démographie française et la part liée à l’immigration (donc le Grand Remplacement), trois paramètres sont à prendre en compte :
- les “stocks” : le nombre et la proportion actuels d’immigrés et de descendants d’immigrés en France (c’était l’objet d’un autre article sur la démographie immigrée).
- les flux : le nombre d’immigrés qui entrent (légalement ou non) en France et qui en sortent, ainsi que le nombre de Français autochtones qui émigrent.
- le solde naturel : la proportion, parmi les naissances en France, d’enfants d’immigrés, ou d’enfants à ascendance extra-européenne.
Cependant, il s’avère que le paramètre qui est le meilleur indicateur de la démographie de la France dans un futur très proche est le solde naturel : combien d’enfants, parmi les nouveaux-nés en France actuellement, ont une ascendance extra-européenne, et plus précisément africaine ?
Pour répondre à cette question, on dispose de 4 indicateurs qui prouvent chacun qu’un Grand Remplacement par les naissances est en cours.
Le Grand Remplacement par les prénoms arabo-musulmans
Le pourcentage de prénoms arabo-musulmans parmi les naissances de garçons ne cesse d’augmenter depuis 60 ans. Il était à moins de 1% en 1960, il est à plus de 18% en 2016. Par ailleurs, au niveau départemental, les départements où le taux dépasse la moyenne nationale sont les plus fertiles (Île de France, départements très peuplés du Sud-Est de la France, etc). Le Grand Remplacement crève les yeux sur ce schéma.
NB : Un biais tend par ailleurs à minimiser le comptage des prénoms musulmans, l’INSEE ne publiant pas pour des raisons de secret statistique les prénoms considérés comme « rares » (moins de 3 occurrences par département). De par leur variété orthographique, cela tend à faire « disparaître » bon nombre de naissances de prénom étranger.
Source : “L’Archipel français” de Jérôme Fourquet (directeur du département « opinion et stratégies d’entreprise » de l’IFOP) à partir du fichier des prénoms de l’INSEE.
Pourcentage de naissances de mère immigrée :
Un rapport récent de l’INED (juillet/août 2019) indique que près d’une naissance sur cinq en 2017 (19%) était de mère immigrée, c’est-à-dire née étrangère à l’étranger (soit 143 000 sur 760 000). Cette proportion était seulement de 16 % en 2009 (tableau).
Source : S. Volant, G. Pison et F. Héran Population & Sociétés n° 568, INED, juillet/août 2019
Pourcentage de nouveaux-nés dont les parents sont étrangers ou nés à l’étranger :
Pour étudier le long-terme, on peut regarder les chiffres de l’Insee sur l’origine des nouveaux-nés : ces données sont de très bonne qualité puisque la nationalité et le pays de naissance des parents sont enregistrés de façon quasi systématique à la naissance d’un enfant (alors que les chiffres du solde migratoire ne sont que des estimations imparfaites, souvent revues à la hausse a posteriori). (Source)
Données selon la nationalité des parents :
Données selon le pays de naissances des parents :
Evolution :
On constate que la proportion des nouveau-nés dont au moins l’un des parents est de nationalité étrangère hors Union Européenne est passée de 11,5% en 1998 à 21.1% en 2016.
On constate que la proportion de nouveaux-nés dont au moins un des parents est né hors de l’UE à 28 est passée de moins de 19% en 1998 à presque 28% en 2017, soit une augmentation de presque 48%.
Dans le cas des nouveaux-nés dont les deux parents sont nés hors de l’UE, l’augmentation est encore plus spectaculaire : la proportion est passée d’environ 8% en 1998 à plus de 14% en 2017, soit une augmentation de 75%.
NB : Certes, il y a des parents nés hors UE de parents français, mais l’Insee ne permet pas de croiser les données “nationalité et pays de naissance”. Cependant, a priori, seule une infime partie est concernée par cette situation, et dans tous les cas, cela ne change pas vraiment l’augmentation en pourcentage considérée (puisqu’il est improbable que la proportion d’individus nés hors de l’UE mais de nationalité française parmi les parents nés hors de l’UE ait beaucoup changé).
NB : Notons aussi que, parmi les parents nés en France, certains sont eux-mêmes issus de l’immigration extra-européenne. D’après l’enquête Trajectoires et origines de l’Ined (Source), entre 2006 et 2008, quand un nouveau-né avait un parent né hors de l’UE et un parent né en France, ce dernier était lui-même enfant d’immigré dans 40% des cas. Donc les chiffres que nous venons de voir sous-estiment certainement la réalité.
Source : INSEE, Statistiques de l’état civil (https://insee.fr/fr/statistiques/2381382)
La drépanocytose, indicateur de Grand Remplacement
Un bon moyen d’avoir des statistiques ethniques sur les naissances en France est le pourcentage d’enfants dépistés à la drépanocytose, une maladie qui concerne quasi-exclusivement les populations extra-européennes. Les conditions de dépistage de cette maladie génétique majoritairement africaine sont très stricts: les deux parents doivent être issus d’une des régions à risque listées ci-dessous.
On constate qu’en France métropolitaine en 2016, 39,39% des nouveaux-nés ont été dépistés (donc considérés comme nouveaux-nés “à risque”). En Ile-de-France, pratiquement 3 enfants sur 4 sont dépistés. Le taux de dépistage national augmente de façon quasi linéaire depuis 20 ans : environ 20% en 2000, et 31,5% en 2010.
Source : Agence Française pour le Dépistage et la Prévention des Handicaps de l’Enfant (AFDPHE)
NB :
- Ce sont bien les enfants issus de couples d’extra-européens qui sont concernés : la part de couples composés d’Européens (Italiens du sud, Siciliens et Grecs) est évidemment très marginale comparée à celle des couples composés d’Africains et de Levantins.
- Les seuls cas où le nouveau-né peut être dépisté si ses deux parents ne sont pas issus de régions à risque sont évidemment marginaux.
- Une légère nuance: selon Valérie Gauthereau, directrice de la fédération parisienne de dépistage, dans certains hôpitaux de la région parisienne, le dépistage serait systématique face au très grand nombre de nouveau-nés à risque.
- Les ultramarins qui sont français depuis plusieurs générations sont dépistés : le propos n’est pas de dire qu’ils ne sont pas français, mais simplement de montrer que le pourcentage d’extra-européens (“diversité visible”) en France ne cesse d’augmenter, de façon non négligeable. Il est évident que la population d’Outre-Mer n’est pas à l’origine de l’accroissement linéaire du taux de dépistage depuis 20 ans, son importance est donc marginale dans le phénomène.
- L’évolution du taux de dépistage est tout à fait cohérente avec l’augmentation du taux de naissances d’enfants dont les parents sont nés hors UE ou ont une nationalité extra-européenne, mais aussi avec l’évolution du nombre de nouveaux-nés ayant un prénom arabo-musulman.
Conclusion
Nous avons prouvé dans cet article que le Grand Remplacement n’était pas une théorie, mais bien un constat, et qu’il se vérifie notamment par les naissances et la part grandissante de nouveaux-nés d’origine africaine.
Rappelons ainsi 2 chiffres importants :
- Le pourcentage de prénoms arabo-musulmans parmi les naissances de garçons est passé de moins de 1% en 1960 à plus de 18% en 2016.
- La proportion des nouveaux-nés dont les deux parents sont nés hors de l’UE est passée d’environ 8% en 1998 à plus de 14% en 2017, soit une augmentation de 75%.
Pour avoir une idée du Grand Remplacement en observant les “stocks” dans les unités urbaines, les lecteurs pourront également se diriger vers le site de France-Stratégie, qui a récemment mis en ligne (naïvement ?) un outil permettant de bien visualiser le phénomène. Ci-dessous, l’évolution de la part des immigrés ou enfants d’immigrés d’origine extra-européenne parmi les 0-18 ans dans l’Unité Urbaine de “Grand” Paris.
NB : Pour comprendre pourquoi nous ne nous extasions pas devant ce Grand Remplacement, vous pouvez vous reporter à notre article sur les preuves de la surdélinquance des populations maghrébines et subsahariennes en France. Vous pouvez également lire nos réponses aux fallacieux arguments pour l’immigration les plus fréquemment utilisés.
Les gens que Marianne importe depuis 60 ans, qui haïssent la France les Français l’occident nos us et coutumes détestent les marâtres qui ne respectent ni leurs enfants, ni elles-mêmes, ni leurs ancêtres ! En dépit de leurs innombrables carences ces gens ont le sens de la famille et de la communauté ethnique et culturelle.
Quoi d’étonnant à ce qu’ils haïssent la marâtre, à bien y regarder Marianne est la pire marâtre d’occident voir du monde.
Marianne la marâtre finira seule dans un EHPAD, légitimement abandonnée par ses enfants à qui elle fait un procès permanent depuis 230 ans tout en vomissant ses propres ancêtres.
Marianne ne respecte ni ses parents ni ses enfants depuis le jour de sa pathétique et sanglante naissance.
Ses journées seront rythmées par la solitude et ses complaintes de vieille folle déplorant que ceux qu’elle a haï ne viennent pas la visiter .
Atteinte de sénilité et d’Alzheimer de naissance, Marianne se fera torcher les fesses par ses enfants exotiques qui, après l’avoir dépouillée de tout, lui colleront régulièrement des raclées méritées.
Personne n’aime les marâtres ni les infanticides qui se prennent pour quelqu’un d’autre, fût-il plus exotique; surtout pas la diversité qui conserve un certain sens sacré de la famille et du clan.
Comme à sont habitude, Marianne la cinglée se fera passer pour “innocente victime”, déplorer les conséquences dont elle chérit la cause est sa spécialité.
Finir seule, au mieux en EHPAD en compagnie d’un cubitainer de gros rouge, fixant un atonique mur de placo-plâtre Brico-dépôt peint de blanc avec les yeux dans le vague : C’est le lot de tous les marxistes de France !
“Les copains d’abord la famille c’est l’aliénation, la filiation n’est que spirituelle et politique” c’est des choses qu’on peut dire à 14 ans mais quand tous les copains sont en EHPAD en panne de déambulateurs, les seules visites quotidiennes sont les gourmands diptères anticipant leur festin.
Un enfant abandonné et martyrisé peut pardonner si les sévices subis sont temporaires, involontaires, irréfléchis et que “nécessité fait loi”.
Un enfant ne pardonne jamais une marâtre fière de ses méfaits, sans repentance, ayant parfaitement planifié par écrit justifié et revendiqué ses objectifs de marâtre.
Ma plus grande honte est de t’avoir beaucoup trop respecté, de t’avoir servi, de n’avoir comme avec mes propres parents jamais osé lever le ton sur toi au moins par respect, d’avoir été civique, avoir respecté tes lois, n’avoir pas triché, d’avoir versé mon sang pour toi alors que tu n’as aucun respect pour toi-même ni pour les tiens.
J’aurais été mieux avisé de te mépriser et de vouer un culte à tes ancêtres ne serait-ce que pour te rendre encore plus tarée que tu ne l’as toujours été ! Il n’est jamais trop tard pour bien faire.
Marianne tu est une étrangère !
“Quand je vois Marseille occupée, je vois une ville Française, façonnée par 2000 ans d’histoire d’immigration (Marianne sous LSD) […] Je vois les Arméniens, les Comoriens, les Italiens, les Algériens, les Marocains, les Tunisiens, je vois les Maliens, les Sénégalais, les Ivoiriens, j’en vois des tas d’autres que je n’ai pas cité, mais je vois quoi ? JE VOIS DES FRAN-CAAAIS ! ”
Emmanuel Macron incarnation et porte-parole de Marianne et de la raie-publique unie vers les selles, le 1er avril 2017 .
Marianne, je n’ai plus rien à te dire, tu n’es et ne seras jamais la France et je ne serait jamais Français, je suis GAULOIS et je suis chez-moi, tu n’es qu’un incident : la tarée de la famille !