Je suis sûr que vous avez déjà entendu des gauchistes se plaindre que les conservateurs détestent la science : qu’ils ne croient pas à l’évolution ou au réchauffement climatique causé par l’homme ou même au coronavirus. Récemment, le journal “The Philadelphia Inquirer” a par exemple titré un article “GOP, Fox News have waged war on science”, c’est-à-dire : “Le parti républicain et Fox News mènent une guerre contre la science”.
Si les conservateurs ont mené une guerre contre la science, ils ont clairement été mis en déroute… En effet, sur tous les sujets possibles et imaginables, la position défendue par la gauche obtient une couverture médiatique 10 fois plus grande. La véritable guerre contre la science vient de la gauche, et elle est dirigée contre l’une des questions les plus importantes auxquelles le monde entier est confronté.
La guerre contre la science au nom de l’antiracisme égalitariste
Qu’est-ce qui a provoqué les émeutes et les hurlements hystériques des Noirs et des ethno-masochistes blancs au cours des semaines qui ont suivi la mort de George Floyd ?
C’est l’idée que le racisme systémique, inconscient et institutionnel maintient les Noirs dans une situation de sous-performance dans tous les domaines.
Si les Noirs sont pauvres, s’entretuent, sont en surpoids, ont des enfants hors mariage, c’est de notre faute (à nous, les Blancs). Si l’Afrique et Haïti sont complètement en échec, c’est notre faute également. Le pillage du supermarché local est la première étape pour remettre les choses en ordre.
Mais qu’en est-il si les races sont différentes et ne peuvent tout simplement pas atteindre le même niveau ? Nous acceptons que certains groupes soient différents. Les féministes prétendent que les hommes et les femmes sont fondamentalement les mêmes, mais nous comprenons mieux qu’elles les phénomènes sociaux qui nous entourent. Nous savons que ce n’est pas le sexisme systémique qui empêche les femmes d’accéder au football américain professionnel. Nous savons que ce n’est pas le sexisme systémique qui met les hommes en prison à un taux 14 fois supérieur à celui des femmes. Les hommes et les femmes sont différents.
Les différences raciales d’intelligence sont bien établies
Les races sont différentes aussi, et la littérature scientifique qui soutient cette thèse est écrasante, surtout en ce qui concerne l’intelligence. Quiconque s’est penché sur l’étude de tests cognitifs sait que les Asiatiques de l’Est obtiennent en moyenne un score plus élevé que les blancs, et que les noirs obtiennent un score plus faible que les blancs.
Même Wikipedia le reconnaît. En effet, voici ce qu’on peut y lire : “Roth et ses collaborateurs (2001), en examinant les résultats d’un total de 6 246 729 participants à d’autres tests de capacité ou d’aptitude cognitive, ont constaté une différence de 1,1 écart-type dans les scores moyens entre les Noirs et les Blancs”.
Cela signifie que le QI moyen des Blancs aux Etats-Unis est de 100 quand le QI moyen des Noirs est de 85. C’est d’ailleurs aussi la position officielle de l’American Psychological Association (composée majoritairement par des gens de gauches) depuis Neisser et al. (1996).
Le seul débat est de savoir quelle part de la différence est causée par les gènes et quelle part provient de l’environnement. Mais les races sont différentes et on ne peut pas s’attendre à ce que des groupes différents se comportent de la même manière.
La gauche ne veut même pas que vous y pensiez.
Les scientifiques de gauche assument leur guerre contre la science
En décembre dernier, Nathan Cofnas, un étudiant diplômé d’Oxford, a publié cet article dans une revue intitulée “Philosophical Psychology”. Il s’intitulait “Recherche sur les différences de groupes en matière d’intelligence : Une défense de la libre enquête”
Cofnas a cité un certain nombre de gauchistes qui veulent ouvertement supprimer cette recherche.
- Howard Gardner, qui est devenu célèbre pour ses théories (sans intérêt pour les psychologues) sur les intelligences multiples a par exemple dit : “Je ne cautionne pas les enquêtes sur les différences raciales en matière d’intelligence, car je pense que les résultats risquent d’être incendiaires”. Il ne craint pas que les résultats soient erronés. Il s’inquiète qu’ils soient justes.
- Noam Chomsky, le célèbre intellectuel de gauche, s’oppose également aux recherches sur les différences *sexuelles*. Il dit que des études comme celle-ci sont “sans intérêt scientifique et sans signification sociale, sauf pour les racistes et les sexistes”.
- James Flynn (le père du fameux “effet Flynn”) dit qu’en ce qui concerne la race et l’intelligence, “si les universités font ce qu’elles veulent, les recherches nécessaires ne seront jamais faites“. Ils préfèrent ne pas savoir.
- Daniel Dennett, qui est philosophe à l’université de Tufts, dit que s’il tombait sur des recherches sur les différences raciales en matière d’intelligence, il serait “fortement tenté de les déformer, de les caricaturer pour l’intérêt général”.
Si autant de personnes sont prêtes à dire ouvertement qu’elles veulent étouffer la vérité, combien le font sans l’admettre ? Combien d’écrivains, de rédacteurs, de professeurs, de cadres de grandes entreprises technologiques suppriment délibérément des informations ?
Et qu’en est-il de l’article de Cofnas qui défendait la liberté d’enquêter ? Les universitaires ont fait de leur mieux pour faire rétracter l’article- non publié – et certaines des personnes qui intimidaient l’éditeur ont admis qu’elles ne l’avaient même pas lu.
Les différences raciales d’intelligence sont plus tabou que jamais
Voici un autre exemple à connaître : le “Journal of Intelligence” est une revue scientifique “peer-reviewed” (cela signifie que les articles sont relus par des professionnels avant d’être publiés) sur le thème de l’intelligence. Voici sa description sur son site web (veuillez noter la dernière phrase, qui a été ajoutée en 2018) : “Le Journal ne publiera pas d’articles susceptibles de susciter ou d’alimenter des controverses politiques et les éditeurs jugeront si c’est le cas”.
Réfléchissez à cela. Ils rejetteront un article qui pourrait être controversé. Il pourrait avoir des données sans faille et une analyse brillante, mais il vaut mieux ne pas publier quelque chose de controversé. Une publication scientifique pourrait-elle être plus ouvertement lâche ? Tout ce qui est important est susceptible d’être controversé.
Le mois dernier, en juin 2019, ce même “Journal of Intelligence” a rejeté un article de chercheurs de l’Université d’État de Cleveland. Il s’agit d’un article intitulé “Measured Cognitive Differences among UK adults of Different Ethnic Backgrounds” (“Différences cognitives mesurées entre adultes britanniques d’origines ethniques différentes”), (et il est basé sur un ensemble de données considérables que les chercheurs ont tout simplement obtenu par une demande d’accès aux informations et aux différents chiffres utilisés. Et ils ont trouvé des différences d’intelligence entre les groupes. Mais tout ce qu’ils ont fait, c’est de les décrire. Ils n’ont rien dit sur les raisons pour lesquelles certains groupes obtiennent de meilleurs résultats que d’autres aux tests de QI. Le mot “gène” n’apparaît pas une seule fois dans la version préliminaire de l’article.
La lettre de rejet du Journal of Intelligence est accessible sur le blog de l’universitaire indépendant Emil Kirkegaard. Le rédacteur en chef a écrit que, de la façon dont elles ont été présentées, “les conclusions peuvent conduire à des interprétations et des conclusions qui sont politiquement controversées”. La vérité pourrait être controversée ! Même une chose que Wikipédia admet comme étant vraie peut être controversée.
Les personnes qui se plaignent d’une mentalité antiscientifique conservatrice vont-elles dire aux rédacteurs du Journal of Intelligence de publier le document ? Certainement pas…
Décolonisons la science !
Mais savez-vous ce qui est soutenu par la science gauchiste de nos jours ? Voici un titre hilarant… mais vrai : “Trois chercheurs de Concordia collaborent pour engager les connaissances indigènes dans l’étude de la physique”.
C’est aussi mauvais que ça en a l’air. Ces trois guignols de l’université Concordia de Montréal ont obtenu une bourse de 163 000 dollars pour que des Esquimaux leur expliquent la physique. Le Dr Tanja Tajmel – c’est la gourde de droite, qui est physicienne – dit qu’elle a “remis en question les hypothèses coloniales de la science occidentale”. La gourde du milieu, qui prétend être de la tribu des Kanien’keha-ka, s’inquiète du fait que “les modes de connaissance indigènes ont été supprimés et marginalisés”. Comme l’explique le communiqué de presse de l’université, “en engageant la compréhension indigène et en impliquant les communautés indigènes dans la co-création de connaissances, le projet vise à décoloniser la recherche en physique contemporaine“. Ils vont donc dépenser 163 000 dollars pour parler de physique aux guérisseurs algonquins.
Et tandis que les gauchistes font la promotion de ces absurdités, ils suppriment activement tout type de recherche sur les causes réelles des inégalités raciales dont ils prétendent se soucier. Ils veulent retourner les Etats-Unis afin de parvenir à l’égalité des Blancs et des Noirs dans tous les domaines. C’est tout aussi fou que de retourner les Etats-Unis pour s’assurer qu’il y ait autant de Mexicains que de Noirs dans la NBA.
La science est morte quand les gens préfèrent ne pas savoir. Quand on a des problèmes, même pour se poser des questions. Et si les données montrent que les homosexuels font de mauvais parents ? Ou que les femmes policières sont plus susceptibles de paniquer ? Ou que les blancs sont génétiquement plus susceptibles d’être violents que les Asiatiques de l’Est ? Ou que l’autodiscipline est un trait héréditaire ? Qui financerait la recherche ? Qui publierait les articles ?
Dans le cadre d’une purge générale, la chaîne American Renaissance de Jared Taylor a été bannie après huit ans de diffusion et plus de 20 millions de visionnages. La même chose se produit dans le domaine de la science. Si vous vous éloignez de la seule vraie foi, si vous vous éloignez de la religion de l’antiracisme, vous n’êtes plus le bienvenu. Mais ne vous inquiétez pas, un descendant de Géronimo vous enseignera toute la physique que vous devez connaître…