Jésus et Mahomet sont deux figures religieuses et historiques majeures. Pourtant, en étudiant plus précisément les vies de chacun, on peut voir qu’ils ne sont pas comparables, un gouffre semble même les séparer.
Selon l’islam, Mahomet est un prophète et un modèle. Nous allons montrer que cette affirmation ne peut qu’être fausse.
Pour commencer, notons à titre indicatif que Mahomet n’est pas prophète selon les critères de l’Ancien Testament et de la tradition juive. En effet, il n’a pas de témoin, il n’a pas annoncé le Messie, il n’a fait aucun miracle selon le Coran (même si certains hadiths tardifs prétendent le contraire). Le Coran ne rapporte aucune prophétie. Mahomet n’est pas mort à Jérusalem, alors que Jésus dit qu’il ne convient pas « qu’un prophète meure en dehors de Jérusalem ». Enfin, il est même mort empoisonné, ce qui est une catastrophe pour un prophète.
C’est une première remarque, maintenant, on peut se demander : Comment évaluer Mahomet ?
La réponse la plus logique serait de le comparer à Jésus parce que l’islam prétend être en continuité avec le Judaïsme et le Christianisme selon une vision simple : il y a eu Moïse, puis Jésus, puis Mahomet.
Mais il y a plusieurs grands problèmes dans cette théorie, le premier étant que la Bible n’a annoncé que le Messie et seulement le Messie.
Personne n’a évidemment jamais annoncé la venue de quiconque après le Messie pour la bonne et simple raison que dans la Bible et toute la tradition chrétienne, il n’y a rien après le Messie. Le Messie est le terminus ad quem. C’est-à-dire la fin. Avec lui, Tout est accompli. C’est le sommet. II est Le dernier cadeau de Dieu qui doit être « la lumière des nations », c’est-à-dire que le Messie est pour toute l’humanité. Il ne peut rien y avoir après lui, en dehors du déploiement de son Esprit Saint !
À ce sujet, les musulmans argumentent en disant que Moïse a annoncé la venue d’un « prophète » et que Jésus a annoncé la venue d’un « Paraclet ». Mais la simple analyse de ces passages montrent qu’il ne peut pas s’agir de Mahomet. En plus, si Moïse ou Jésus avaient annoncé quelqu’un qui viendrait après le Messie, il y aurait des traces historiques de cette attente, comme il y en a des centaines pour l’attente du Messie. Mais là, il n’y a rien. Zéro.
Historiquement, il est donc certain que Mahomet n’a été ni annoncé, ni attendu. En revanche, Jésus a explicitement et sérieusement mis en garde contre « les faux prophètes » qui viendront après lui et il a dit qu’on les reconnaîtrait à leurs fruits.
Jésus face à Mahomet
Et si on étudie les fruits de Mahomet , on voit qu’il n’y a aucune continuité avec Moïse et Jésus mais une rupture profonde. On le voit déjà avec les 10 commandements donnés par Moïse, qui contiennent des prescriptions morales
Jésus les a accomplies parfaitement :
- Non seulement il n’a pas tué, mais il a ressuscité, guéri, donné la vie.
- Il n’a pas menti, mais il était la vérité.
- Il n’a pas volé, mais il était le pauvre.
- Il n’a pas pris la femme de son frère, mais il était chaste.
- Il n’a rien pris à personne mais il a toujours donné – et même sa vie!
Ce n’est absolument pas le cas de Mahomet :
- il a tué et fait tuer.
- il a menti.
- il a volé.
- il a eu des relations sexuelles avec beaucoup de femmes, des esclaves, des captives de guerre, une enfant de 9 ans.
- il a fait beaucoup de pillages et razzias.
Par ailleurs, ceux qui ont voulu imiter Jésus sont devenus pauvres, chastes et obéissants. Et ceux qui ont imité Mahomet, les califes, ont accumulé la richesse, les harems et la domination. On assiste donc dans le cas de Mahomet à une inversion totale des valeurs.
C’est ce qu’on retrouve quand on compare la vie de Jésus et de Mahomet : il y a un homme de guerre et un homme de paix, un homme violent et un homme doux, un homme qui réduit en esclavage des centaines de gens et un autre qui au contraire a servi son prochain, un homme qui est pécheur et un autre qui est sans péché. On pourrait allonger la liste de ce qui oppose Jésus et Mahomet.
Si on veut regarder les choses au fond, l’islam redéfinit en fait totalement le bien et le mal. Qu’est-ce qui est mal et qu’est-ce qui est bien selon la morale classique ? Selon la Bible, le diable est le « prince de ce monde » qui inspire le mal : il pousse à la violence, à l’accumulation de richesses, à la débauche, à l’inverse des 10 commandements. Et il pousse même à des œuvres encore plus horribles comme les massacres, les tortures, l’esclavage, les viols, la pédophilie, l’inceste …
On constate malheureusement que Mahomet coche TOUTES les cases :
- Il a ordonné des massacres, comme par exemple les 600 juifs de Médine, décapités en une seule journée.
- Il a torturé énormément de gens comme par exemple les Oklites qu’il a laissé mourir au soleil après leur avoir coupé les mains, les pieds et après leur avoir crevé les yeux avec des clous chauffés.
- Il a violé la juive Safiya après avoir tué et torturé aussi son mari, et tué son père et son frère.
- Il s’est marié à 50 ans passés avec une petite fille de 6 ans et il l’a mis dans son lit à 9 ans.
- Il a même pris la femme de son fils adoptif qui l’avait séduit et que son fils lui a proposée.
Les musulmans sont obligés de penser que tout cela est bien, ou encore de tordre la réalité pour la rendre acceptable à leurs yeux. Mais en réalité, il est clair que Mahomet a fait le mal, et tout homme qui a un minimum de bon sens le voit : ce sont de mauvaise actions. Comment un prophète de Dieu pourrait-il faire l’œuvre du diable ? Comment peut-on faire tout ces horreurs et regarder après la douceur, la bonté et la pureté de la Vierge Marie ?
Bien sûr, Jésus au contraire ne coche AUCUNE de ces cases : Il fait tout l’inverse point par point. Mahomet a un comportement qui est à l’opposé de celui du Christ, c’est le jour et la nuit.
Mahomet correspond en fait à la définition de l’anti Christ que donne les chrétiens : il refuse le Père et le Fils et il refuse Jésus venu dans la chair. L’islam se définit fondamentalement par un refus du mystère de l’Incarnation.
L’islam est fondamentalement une agression contre le mystère du Christ :
- Il détourne l’idée biblique de Messie, comme on l’a vu.
- Il nie aussi Jésus comme Fils de Dieu, en disant que Dieu n’a pas de Fils.
- Il nie la Rédemption et le Salut.
- Il nie la Crucifixion et la Résurrection. (D’ailleurs, l’islam dit qu’Allah a trompé les chrétiens en mettant un sosie à la place de Jésus sur la Croix. Mais si c’était vrai, comment pourrait-il ensuite leur reprocher de croire au Christ et les envoyer en enfer pour cela ? C’est évidemment incohérent.)
- L’islam nie la notion d’Alliance qui est remplacée par la Soumission.
- Il change même le nom de Jésus qui signifie « Dieu sauve » et il le remplace par « Issa » qui ne signifie plus rien.
L’islam nie tout et dépouille complètement Jésus qui serait réduit à n’être qu’un simple prophète. Et même un prophète raté, car transmetteur d’un texte islamique que personne n’a jamais vu, et qui aurait été perdu dans l’histoire !
Il est important de prendre le temps de comparer Jésus et Mahomet. Cette évaluation est capitale pour comprendre le gouffre qui sépare le catholicisme de l’islam.
L’islam met en face deux modèles opposés, Jésus et Mahomet, et on doit se demander : qui est le vrai modèle ? Jésus est évidemment infiniment plus grand que Mahomet, et l’histoire le confirme largement.
« Qui cherche trouve »
Jésus
NB : Cet article est largement inspiré de la vidéo “L’islam est faux“, que je vous invite à regarder en entier.
Finalité eschatologique des trois monothéismes (sans les citer) :
Cas A: ” Tu posséderas toutes les richesses des nations, tu en seras le maître, le loup couchera aux côtés de l’agneau et la paix sera éternelle”
Cas B : ” La maladie n’existera plus, le loup couchera aux côtés de l’agneau, nous seront tous frère et la paix et le bonheur dureront mille ans”
Cas C : ” Dieu de paix et d’amour revient combattre les ennemis de son prophète. Il châtie les hommes de leur impiété et les tue tous, animaux compris. Il tue les anges un à un, ange de la mort en dernier. Il détruit la terre et tout ce qui s’y trouve, puis détruit l’enfer et le paradis. ”
Comme disent nos “élites” et “intellectuels” : “Toutes les religions se valent” … Heureusement qu’il s’agit de lettrés ayant l’esprit critique, n’est-ce pas ^^
Notre Père est vivant, je l’ai rencontré 2 fois, je suis mort 2 fois et je l’ai rencontré.
Il m’a donné la santé et la jeunesse jusqu’à mon âge actuel (62 ans), préservé de la maladie, de la violence, de la pauvreté, il m’a offert ce que tout homme recherche sur cette terre : le bonheur.
Peut-être vivrai je au-delà de vos vies, de ma famille et amis, mais soyez en sur croyez en ses simples paroles : heureux les simples d’esprit, laissez venir à moi les petits enfants.
Ne prenez pas ses paroles à la lettre mais au sens ainsi que le mot Père.
Voyez et lisez la prière de la sainte croix de Jésus Christ trouvé en 52.
Bernard